Le "sondage" de notre site a donné pour le PS, le résultat suivant : sur 303 "votants", Michel Vergoz (43,89 %) devance Jean-Claude Fruteau (26,73 %), Monique Orphé (19,47 %), Gilbert Annette (9,91 %). Il n'y a pas eu vraiment de concurrence. Même si certains voyaient (et voient toujours) en Jean-Claude Fruteau, "un bon sénateur", la discipline du parti à jouer chez les socialistes. Cela montre si besoin était que Gilbert Annette, premier secrétaire fédéral, tient son parti.
Une page est en train de se tourner : "Le PS ne veut plus être le marche-pied où le faire-valoir du PCR et de Paul Vergès". Et cela a débuté lors des Régionales 2010. Alors que Paul Vergès pensait profiter des luttes intestines au sein PS, entre les socialistes du Nord et les socialistes du Sud, lors de ce scrutin, la population en a décidé autrement.
Paul Vergès qui croyait très fort pouvoir se passer du PS aux Régionales, s'est rendu compte que le PS était devenu plus qu'un faire-valoir. Et bizarrement, le PS a fait le même constat. Cette prise de conscience est allée crescendo. Le PS fait et impose ses choix. C'était aussi le cas aux Cantonales en mars et c'est le cas aujourd'hui pour les Sénatoriales.
La candidature de Michel Vergoz confirme cette évolution, surtout si l'on prend en compte la campagne de déstabilisation de ces deux dernières semaines, menée par le PCR et Témoignages.
"A travers Michel Vergoz, c'est le PS qui est visé". Quel que soit l'objectif, le PCR a réussi avant tout à consolider la tête du liste du PS, et à créer un vrai élan de solidarité autour de Michel Vergoz. "Le PS est en ordre de bataille pour gagner un siège de sénateur, ça fait 20 ans que l'on attend cela".
Cette nouvelle opposition PS - PCR, hors du Conseil général, n'est plus à fleurets mouchetés. Le PCR et le PS ont désormais le même objectif : priver l'autre de tout siège de sénateur…
Une page est en train de se tourner : "Le PS ne veut plus être le marche-pied où le faire-valoir du PCR et de Paul Vergès". Et cela a débuté lors des Régionales 2010. Alors que Paul Vergès pensait profiter des luttes intestines au sein PS, entre les socialistes du Nord et les socialistes du Sud, lors de ce scrutin, la population en a décidé autrement.
Paul Vergès qui croyait très fort pouvoir se passer du PS aux Régionales, s'est rendu compte que le PS était devenu plus qu'un faire-valoir. Et bizarrement, le PS a fait le même constat. Cette prise de conscience est allée crescendo. Le PS fait et impose ses choix. C'était aussi le cas aux Cantonales en mars et c'est le cas aujourd'hui pour les Sénatoriales.
La candidature de Michel Vergoz confirme cette évolution, surtout si l'on prend en compte la campagne de déstabilisation de ces deux dernières semaines, menée par le PCR et Témoignages.
"A travers Michel Vergoz, c'est le PS qui est visé". Quel que soit l'objectif, le PCR a réussi avant tout à consolider la tête du liste du PS, et à créer un vrai élan de solidarité autour de Michel Vergoz. "Le PS est en ordre de bataille pour gagner un siège de sénateur, ça fait 20 ans que l'on attend cela".
Cette nouvelle opposition PS - PCR, hors du Conseil général, n'est plus à fleurets mouchetés. Le PCR et le PS ont désormais le même objectif : priver l'autre de tout siège de sénateur…
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